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ÉCOLOGIE & PRODUCTION

FABRIX

Réunion de lancement.

Cedecs-TCBL est partenaire du projet triennal Horizon Europe FABRIX, qui vise simultanément à améliorer l'industrie du textile-habillement (T&C) en Europe ainsi qu'à améliorer l'urbanisme de ces fonctions manufacturières. FABRIX, qui signifie Favoriser des écosystèmes textiles et vestimentaires régénératifs locaux, beaux et durables, est financé par l'Union européenne dans le cadre du programme de l'Agence exécutive européenne pour la santé et le numérique (HaDEA) dans le cluster Industrie, et est étroitement lié au valeurs promues par le Nouveau Bauhaus Européen. Il aborde les problèmes environnementaux et sociaux critiques impactés par le secteur du textile et du textile, tels qu'identifiés par le Pacte vert pour l'Europe, le plan d'action pour l'économie circulaire et la stratégie industrielle.

Gen Phoenix est partenaire de Doc Martens pour fabriquer leur modèle 1460 à partir de 50% de chutes de cuir et 50% de textile. D’une précédente expérience avec les sacs Coach (Coachtopia), Gen Phoenix a validé que le cuir le plus facile à recycler était le cuir des peaux déjà tannées mais ni teintes, ni séchées. LIRE

Depuis 2020, VEJA a réparé 20 000 paires de sneakers dans 5 ateliers dans le monde. Testé dans un premier atelier de Bordeaux, le concept a eu un tel succès que rapidement il s’est déployé à Paris, Berlin, Madrid et maintenant Brooklyn. Pour 10 à 90 euros selon la réparation, ces nouveaux cordonniers (à former) permettent à leurs possesseurs de porter plus longtemps leurs paires de chaussures, ou d’acheter et revendre des sneakers en ligne. Longue vie donc aux modèles préférés… ou mythiques. LIRE

Lululemon, partenaire des équipes olympiques du Canada pour leurs tenues hors compétition. Pour ces Jeux Olympiques qui se déroulent en France, le Canada a décidé de créer des tenues très mode (voire couture), emblématiques d’une vision nature du pays (avec des imprimés à base de fleurs et d’animaux) et néanmoins adaptés à ces moments clés des jeux comme la Cérémonie d’ouverture ou les remises de médailles. LIRE

Le gouvernement français a dévoilé la version beta de son calculateur «Ecobalyse », pour étiqueter l’empreinte environnementale de nos vêtements. Les acheteurs pourront ainsi comparer les « points d’impact » de leurs futurs achats, e.g. entre trois t-shirts, un synthétique à 1 252 points vs un coton à 893 et un coton bio à 383 (le minimum étant 0). Le calcul prend en compte les émissions de gaz à effet de serre, les atteintes à la biodiversité, la consommation d’eau et d’autres ressources naturelles, l’utilisation de produits chimiques, le relargage de microfibres ou encore l’export hors Europe des vêtements en fin de vie. Cet indicateur intègre également la propension du vêtement à être porté longtemps. Pour le moment, l’utilisation de cet indice par les marques est volontaire. LIRE

Revyze est passé en 6 mois de 400 000 à 1 million d’utilisateurs. Ce sont des formats de deux minutes, faits par des étudiants et pour des étudiants, pour apprendre des notions, des schémas, des idées etc. de manière simple et avec l’appui de la communauté. Une approche rythmée, flexible et inclusive adaptée à un apprentissage « snacking », très caractéristique de jeunes générations, et qui permet tout au long de la vie d’acquérir des micro – certifications. LIRE

La filière du Made in France stagne, à l’instar du segment bio en alimentaire, avec un cœur de cible ayant envie de consommer moins, mieux et plus local, mais avec des produits qui doivent intégrer des hausses de coûts, notamment en énergie, qui ne peuvent être répercutées sur des prix moyens déjà élevés… en particulier dans un marché où l’ultra-low-cost, consommer plus, et moins bien fait recette, tel SheIn. LIRE